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De Hippocrate au Dr L.H. JONES

Formation Jones Strain CounterstrainMéconnue il y a encore une dizaine d’années, la technique du Dr Jones est aujourd’hui en plein essor.
Convaincu du raisonnement logique de la méthode Jones, Thierry BLAIN, a qui elle a été enseignée partiellement lors d’études d’ostéopathie décide en 2007 d’aller se former aux États-unis au Jones Institute USA, l’organisme crée par le Dr Jones et ses élèves.
Découvrant ce qui n’avait pas été enseigné en France, et totalement convaincu par les résultats sur ses patients, Thierry BLAIN demande au directeur du Jones Institute, Randall Kusunose, de venir enseigner en France.
Très proche du Dr Jones, Randall a reçu l’essence de son enseignement. Passionné, il partage volontiers son expérience avec les kinésithérapeutes et ostéopathes français. Dès lors tout change. Les pseudo études sur un nombre de cas limité sans respecter les principes du Dr Jones tombent en désuétude et nombre de praticiens découvrent une technique basée sur le principe de la physiologie neuro-musculaire. L’observation clinique des patients sous l’angle de la technique Jones mettent en évidence les mécanismes physio-pathologiques des douleurs musculo-squelettiques. Ce qui surprend le plus les nouveaux praticiens est la facilité de mise en pratique et ses résultats. Non traumatique, la méthode Jones apporte des solutions basées sur l’évidence.

 

 

De Hippocrate au Dr LH Jones

Pourquoi la technique Jones apporte tant de résultats ?
Lorsqu’il découvrit la technique, le Dr Jones a involontairement mis en pratique le principe immuable décrit par Hippocrate : Natura Medicatrix (La nature guérit)
En effet, lorsque son patient souffrant d’une psoïte aigüe, il le positionne en raccourcissant ce muscle clé (psoas), et le laissant quelques minutes ainsi, il se rend compte qu’il est guérit.
Cette technique pourrait aussi s’appeler Technique de correction par positionnement (articulaire). Ainsi, en positionnant correctement l’ensemble musculaire dans l’attitude que prendrait naturellement le patient souffrant, il déprogramme le spasme intense du psoas.
Le praticien a donc respecté le principe Natura Medicatrix, en trouvant la position inhibitrice que recherche naturellement le patient sans réussir à la trouver parfaitement. Il suffit donc, de connaître les points musculaires et la position d’inhibition pour déprogrammer les tensions et spasmes et ceci sans mise en tension ni gestuelle particulière.

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